L'Autriche-Hongrie était convaincue de la responsabilité de la Serbie dans cet attentat.
Cette déclaration de guerre intervenait après un ultimatum autrichien qui devait lui attribuer un droit de police en Serbie pour destituer un certain nombre de fonctionnaires (l'un des chefs de la "Main Noire", le colonel Dimitrievitch, occupait un poste important dans les services secrets Serbes).